27 février 2008
Mein Goethe
Les gens, le plein de, le trop, le pas assez, c’est l’armée noire et fauve de la vie assiégée. On se croise parfois, cette mort lente aux trousses et on se feint le calme quand les yeux crient en douce. Le parfum du normal, du facile pour se taire ; laissons...